S’exprimant en marge de l’AIF 2025, M. Best a relevé que l’Afrique et la Caraïbe partagent les mêmes aspirations pour une croissance inclusive, ainsi que des contraintes similaires, telles que l’étroitesse des marges budgétaires, l’exposition aux chocs externes et d’importants déficits en infrastructures.
Les ressources publiques seules ne peuvent répondre à ces défis, a-t-il relevé, insistant sur le rôle déterminant des partenariats public-privé (PPP), des institutions financières de développement et des dispositifs de financement mixtes pour attirer des capitaux privés à grande échelle.
M. Best a rappelé que les besoins de financement en infrastructures en Afrique dépassent 170 milliards de dollars par an, alors que moins de la moitié est mobilisée. Dans ce contexte, il a salué le rôle de l’AIF en tant que plateforme de coordination réunissant gouvernements, investisseurs institutionnels et porteurs de projets pour accélérer la prise de décision et améliorer l’environnement de l’investissement.




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